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Potence d’éclairage, 1940

Potence d’éclairage pivotante, c. 1950.

Potence d’éclairage pivotante, c. 1950. © Galerie Patrick Seguin.

Potence d’éclairage pivotante, c. 1950.

Potence d’éclairage pivotante, c. 1950. © Galerie Patrick Seguin.

Appartement de la famille Prouvé, place de la Carrière, Nancy. Le coin-repas avec une grande potence d’éclairage pivotante. Fauteuil et tabouret en paille de Charlotte Perriand. Visite de la famille Lods et de l’architecte B. Bijvoet, c. 1945.

Appartement de la famille Prouvé, place de la Carrière, Nancy. Le coin-repas avec une grande potence d’éclairage pivotante. Fauteuil et tabouret en paille de Charlotte Perriand. Visite de la famille Lods et de l’architecte B. Bijvoet, c. 1945. © Fonds Lods et Association Beaudouin et Lods. Académie d’architecture-Cité de l’architecture et du patrimoine, Archives d’architecture du XXe siècle.

Appartement de la famille Prouvé, place de la Carrière, Nancy. Le coin-repas avec une grande potence d’éclairage pivotante. Fauteuil de Charlotte Perriand. Visite de la famille Lods et de l’architecte B. Bijvoet, c. 1945.

Appartement de la famille Prouvé, place de la Carrière, Nancy. Le coin-repas avec une grande potence d’éclairage pivotante. Fauteuil de Charlotte Perriand. Visite de la famille Lods et de l’architecte B. Bijvoet, c. 1945. © Fonds Lods et Association Beaudouin et Lods. Académie d’architecture-Cité de l’architecture et du patrimoine, Archives d’architecture du XXe siècle.

« Appareils électriques, potence ». Extrait du plan Ateliers Jean Prouvé n° 10.416, avril 1947.

« Appareils électriques, potence ». Extrait du plan Ateliers Jean Prouvé n° 10.416, avril 1947. © Fonds des Ateliers Jean Prouvé, Archives départementales de Meurthe-et-Moselle.

La maison Jean Prouvé. Le coin-repas aménagé avec une table spécialement conçue par Pierre Jeanneret en 1943, des chaises Métropole n° 305 et une potence d’éclairage pivotante. Le Haut-du-Lièvre, Nancy, c. 1955.

La maison Jean Prouvé. Le coin-repas aménagé avec une table spécialement conçue par Pierre Jeanneret en 1943, des chaises Métropole n° 305 et une potence d’éclairage pivotante. Le Haut-du-Lièvre, Nancy, c. 1955. © Fonds Jean Prouvé. Centre Pompidou – MNAM/CCI-Bibliothèque Kandinsky-Dist. RMN-Grand Palais.

Potence d’éclairage pivotante, c. 1950.

Potence d’éclairage pivotante, c. 1950. © Galerie Patrick Seguin.

Appartement prototype de l’immeuble La Frontale, Toulon (J. de Mailly, arch., 1950-1955). Maquette grandeur nature présentée à l’exposition de l’Habitation, Salon des arts ménagers, Paris, 1951. Mobilier de Pierre Jeanneret et de Charlotte Perriand. Potence d’éclairage des Ateliers Jean Prouvé.

Appartement prototype de l’immeuble La Frontale, Toulon (J. de Mailly, arch., 1950-1955). Maquette grandeur nature présentée à l’exposition de l’Habitation, Salon des arts ménagers, Paris, 1951. Mobilier de Pierre Jeanneret et de Charlotte Perriand. Potence d’éclairage des Ateliers Jean Prouvé. © Archives nationales, centre des archives contemporaines de Fontainebleau, fonds du Salon des arts ménagers.

Cité universitaire, Antony (E. Beaudouin et P. Fournier, arch., 1951-1957). Une des 150 chambres de célibataire aménagées par l’équipe Prouvé-Perriand-Villiger, 1955.

Cité universitaire, Antony (E. Beaudouin et P. Fournier, arch., 1951-1957). Une des 150 chambres de célibataire aménagées par l’équipe Prouvé-Perriand-Villiger, 1955. © Collection privée.

Potence d’éclairage double, 1942. Provenance : villa Dollander, Saint-Clair, Var.

Potence d’éclairage double, 1942. Provenance : villa Dollander, Saint-Clair, Var. © Collection privée.

« Ferembal. Fixation d’une potence électrique ». Plan Ateliers Jean Prouvé n° 13.409 du 18 avril 1951.

« Ferembal. Fixation d’une potence électrique ». Plan Ateliers Jean Prouvé n° 13.409 du 18 avril 1951. © Fonds des Ateliers Jean Prouvé, Archives départementales de Meurthe-et-Moselle.

Potence d’éclairage orientable montée sur tube carré pour le passage des fils, 1948. Provenance : école de la Verrerie, Croismare.

Potence d’éclairage orientable montée sur tube carré pour le passage des fils, 1948. Provenance : école de la Verrerie, Croismare. © Galerie Patrick Seguin.

Potence d’éclairage orientable montée sur tube carré pour le passage des fils, 1948. Détail de l’interrupteur. Provenance : école de la Verrerie, Croismare.

Potence d’éclairage orientable montée sur tube carré pour le passage des fils, 1948. Détail de l’interrupteur. Provenance : école de la Verrerie, Croismare. © Galerie Patrick Seguin.

Potence d’éclairage orientable montée sur couvre-joint. Provenance : maison Métropole pour l’institutrice, école communale, Bouqueval, 1950.

Potence d’éclairage orientable montée sur couvre-joint. Provenance : maison Métropole pour l’institutrice, école communale, Bouqueval, 1950. © Galerie Patrick Seguin.

Potence d’éclairage orientable montée sur couvre-joint. Provenance : maison Métropole pour l’institutrice, école communale, Bouqueval, 1950.

Potence d’éclairage orientable montée sur couvre-joint. Provenance : maison Métropole pour l’institutrice, école communale, Bouqueval, 1950. © Galerie Patrick Seguin.

Potence d’éclairage, 1940

D’abord fabriqué par Jean Prouvé pour son usage personnel, le « bras support de lampe » en tube soutenu par un fil d’acier, fixé au mur et pivotant sur un axe est une amélioration du principe développé avec Pierre Jeanneret et Charlotte Perriand pour l’aménagement des pavillons provisoires de la SCAL, à Issoire1. Plusieurs versions se succèdent, mais toutes répondent au souci de proposer un modèle de série pouvant convenir à des pièces de dimensions variables. Les potences peuvent aussi s’adapter à des structures existantes, afin de simplifier l’installation et dissimuler l’alimentation électrique (en utilisant les crémaillères des meubles suspendus ou les couvre-joints des panneaux de façade). Les variantes portent sur la dimension du bras (de 1 m à 2 m, voire 2,50 m), sur son profil (droit, recourbé ou articulé à son extrémité), sur le mode de fixation et le type de support intégrant ou non l’interrupteur, ou encore sur la présence d’accessoires (déflecteur, poignée de manœuvre). Présente dans les expositions depuis 1947, la potence d’éclairage des Ateliers Jean Prouvé, équipée d’un abat-jour conique ou cylindrique, figure en trois tailles au catalogue dès 1950 et sera produite à 150 exemplaires l’année suivante. Adaptée à tous les usages, cette potence
n° 602 conviendra aussi bien au créneau domestique qu’au marché des bureaux ou à celui des établissements scolaires et universitaires2.

1. Voir Sulzer, vol. 2, n° 854.l.
2. À la cité universitaire d’Antony, les potences équipent les chambres de célibataires aménagées par les Ateliers Jean Prouvé.